À travers les âges, l’aloès a été vénéré par de nombreuses civilisations et cultures, tant et si bien que la plante a acquis le nom de « Plante Divine ». L’aloe vera aurait traversé les siècles avec 5 000 ans d’histoire, et son utilisation s’est répandue dans différentes régions du monde les plus éloignées les unes des autres, dans chaque continent. Tour d’horizon.
Histoire et légendes de l’aloe vera
J’ai déjà fait un article sur l’histoire de l’aloès et son utilisation dans les différentes civilisations, mais celui-ci est plus complet, tiré d’une thèse de la Faculté de Pharmacie de l’Université de Lorraine réalisée en 2013, intitulée :
« L’aloe vera, plante médicinale traditionnellement et largement utilisée depuis des millénaires, aux nombreuses propriétés thérapeutiques. Plante miracle ? »
Thèse présentée et soutenue publiquement le 29 octobre 2013 par Natacha Michayewicz.
A l’heure actuelle, personne ne peut vraiment dire de quand datent les premières traces d’utilisation de l’aloès en tant que plante médicinale.
Cependant, on dispose de nombreuses preuves qui montrent qu’il est utilisé depuis plus de 5 000 ans, dans des régions du Monde aussi éloignées les unes des autres, telles que le sud de l’Europe, l’Asie, le nord de l’Afrique, l’Amérique et l’Extrême Orient.
On parle de l’espèce « Aloe vera » dans les nombreux écrits mais bien souvent cette espèce était confondue avec d’autres et dénommée à tort.
Le saviez-vous ?
Le nom « Aloe » est dérivé du nom arabe « Alloeh » qui signifie « amer », alors que « vera » est le mot latin pour dire « vrai ». Dans l’Antiquité, l’amertume de cette variété était synonyme d’efficacité
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L’aloe vera dans la civilisation sumérienne
L’une des premières traces d’utilisation thérapeutique a été trouvée sur des tablettes d’argile sumériennes gravées en caractères cunéiformes datant de 2 100 ans avant Jésus Christ. Elles ont été découvertes en 1948 dans les ruines de Nippur.
Il y a même des rapports (qui restent à prouver) qui relatent le fait que des dessins de la plante datant de 4 000 ans avant Jésus-Christ, ont été trouvés sur des murs d’un temple de l’Égypte ancienne.
La plante est également mentionnée dans la Bible dans plusieurs Livres sacrés :
- Les Nombres
- Cantique des Cantiques
- Évangiles
Les Nombres, chapitre 26, verset 6 :
Mais dans les Nombres où on peut lire :
« Elles s’étendent comme des vallées, comme des jardins près d’un fleuve, comme des aloès que l’Éternel a plantés… »
Il semblerait que l’aloès se rapporte à un petit arbre robuste de la région et non à la plante.
Cantique des Cantiques : chapitre 4, verste 12-13-14 :
De même dans le passage :
« Tu es une source fermée, ma sœur-épouse, une source fermée, fontaine scellée. Tes canaux arrosent un jardin de grenadiers, de troènes et de roses. Jardin de nard, de safran et de cannelle ainsi que de tous les arbres à encens : de myrrhe, d’aloès et de cinnamome. »
Il s’agirait plutôt du bois d’aloès, résine de l’arbre Aquilaria agallocha qui pousse dans les montagnes du Tibet.
Évangile selon Saint Jean, 19 :39-40 :
En revanche, dans le passage
« 39. Nicodème qui auparavant était allé de nuit là où Jésus était enseveli, vint aussi apportant un mélange d’environ cent livres d’aloès et de myrrhe ; 40. Alors ils prirent le corps de Jésus et l’enveloppèrent dans des bandes de lin avec les aromates comme c’est la coutume d’ensevelir chez les Juifs »
Il s’agirait bel et bien de l’aloès car les Arabes exportaient déjà des extraits résineux en Palestine où ils s’en servaient pour embaumer les morts.
L’aloe vera dans la civilisation chinoise
Dans le Pen T’sao, le plus ancien traité de pharmacopée chinoise, remontant à l’empereur Shen Nong (2 700 ans avant J-C), l’aloe vera est classé parmi les plantes aux vertus thérapeutiques majeures.

Les médecins chinois l’avaient même surnommé le « Remède d’harmonie » et la considéraient comme la plante spécifique du traitement des brûlures et des affections de la peau.
Plus tard, vers 700-800 ans après J-C, les Chinois l’utilisèrent pour traiter les sinusites, la fièvre et les convulsions chez les enfants.
Le poète Liu Yu Xi (au VIIIe siècle) raconta comment enfant, il fut guéri d’un eczéma tenace dont aucune médecine ne venait à bout et un marchand d’herbes ambulant élabora une préparation de deux tiers d’aloès et d’un tiers de réglisse qui le soulagea instantanément.
Jadis, avant le combat, les samouraïs enduisaient leur corps de pulpe d’aloès pour chasser les démons et se rendre immortels.
La pharmacopée chinoise de Li Shih-Shen (1518-1593) tient l’aloe vera parmi les plantes aux vertus thérapeutiques majeures et le nomme le « Remède d’harmonie ». La médecine chinoise actuelle utilise sa pulpe pour le traitement de l’artériosclérose.
L’aloe vera dans la civilisation indienne
Les hindous appellent l’aloe vera le « Guérisseur silencieux »
Il figure parmi les plantes majeures de « l’Atharvaveda », l’un des 4 Veda (en sanskrit = connaissance), textes fondamentaux de l’hindouisme faisant référence à différentes plantes médicinales, leurs vertus thérapeutiques, leurs préparations ainsi que des prières expiatoires et incantations magiques.
La médecine ayurvédique de l’Inde tient l’aloès en haute estime, en tant que plante majeure de sa pharmacopée. Considérée comme plante sacrée, elle participait aux rituels des sacrifices, et certaines de ses espèces étaient rigoureusement protégées.
Sur les bûchers funéraires, on place aujourd’hui encore des feuilles d’aloès, symbole de renaissance et d’éternité.
L’aloe vera dans la civilisation mésopotamienne
L’aloe vera apparaît encore sur des tablettes d’argile gravées en caractères cunéiformes, remontant à 2 000 ans avant J-C. Elles ont été découvertes dans les ruines de l’antique Elba en 1973.
Les anciennes tribus sémitiques de Mésopotamie suspendaient l’aloe vera au-dessus de la porte de leurs maisons pour éloigner les mauvais esprits.
L’aloe vera dans la civilisation égyptienne
L’un des plus anciens documents de la médecine égyptienne, le fameux papyrus d’Ebers (nom de celui qui l’a déchiffré après sa découverte dans les ruines de Louksor), écrit à Thèbes et datant de 1 550 avant J-C, reproduit en signes hiéroglyphes de nombreuses formulations à base d’aloe vera et détaille pour la première fois les vertus médicinales attribuées à la plante.
Cet ouvrage qui a pour titre « Livre de préparation de médicaments pour toutes les parties du corps humain », est conservé à l’Université de Leipzig, en Allemagne.


Planté autour des temples, des pyramides et le long des routes menant à la Vallée des Rois, l’aloe vera servait à accompagner le pharaon dans son passage vers l’au-delà, afin de le soigner et de le nourrir tout au long de son voyage.
Quand il fleurissait, cela signifiait que le défunt avait bien atteint l’autre rive…

Les prêtres associaient la « Plante de l’Immortalité » à leurs rites funéraires, l’incorporant à la composition de la formule de l’embaumement.
Les anciens Égyptiens, inventeurs du clystère, l’employaient en lavements purgatifs.
D’après la légende égyptienne, on dit que les yeux de Cléopâtre devaient beaucoup de leur légendaire éclat à un collyre à base d’aloès, et que le secret de la beauté de la peau et du teint de Néfertiti résidait dans ses bains quotidiens de lait d’ânesse et de pulpe d’aloès.
Aujourd’hui, en Égypte, la plante signifie toujours bonheur et protection, surtout si elle est placée à l’intérieur des maisons.
L’aloe vera dans la civilisation arabe
Les Arabes connaissent depuis la plus haute antiquité les vertus de l’aloès qu’ils appellent « Lys du désert »
600 ans avant J-C, la civilisation arabe fut l’une des premières à décrire deux sucs différents et à développer un processus de séparation du gel et de la sève : à l’aide de leurs pieds nus, les Arabes écrasaient les feuilles d’aloe vera et plaçaient la pâte ainsi obtenue dans des sacs en peau de chèvre.
Ensuite, ces sacs étaient placés en plein soleil pour que le contenu soit complètement desséché puis il était réduit en poudre.
Ces extraits résineux, qui servaient surtout de laxatif, mais aussi à bien d’autres usages internes et externes, ont largement contribué à la diffusion de l’aloès dans de nombreux pays du Moyen-Orient et d’Asie.
L’aloe vera et Alexandre le Grand


Aux alentours de 500 ans avant J-C, l’île de Socotra devint le lieu le plus important pour la culture d’aloès.
Il s’agit d’une petite île du Yémen, située en Mer d’Arabie dans l’Océan Indien.
La légende raconte qu’Aristote, philosophe grec, persuada Alexandre le Grand de conquérir l’île pour mettre la main sur les plantations d’aloès afin d’approvisionner ses soldats blessés lors de ses vastes conquêtes militaires.
En effet, on prétendait que le suc de la plante rendait les guerriers invulnérables !
On dit également que vers 330 avant J-C, Alexandre le Grand, blessé par une flèche ennemie et voyant sa plaie s’infecter, fut guéri grâce à une préparation huileuse à base d’aloe vera confectionnée par ce même Aristote…
L’aloe vera dans la civilisation gréco-romaine
Pour les Grecs, l’aloès symbolisait la beauté, la patience, la fortune et la santé.
Dioscoride, un médecin grec et botaniste de l’Antiquité au service de l’armée de Rome, a décrit les propriétés de la plante dans son traité « De Materia Medica »
Elle était utilisée pour la cicatrisation ; le traitement des furoncles, des irritations de la sphère ORL, des peaux sèches et irritées, des ulcères génitaux, des ecchymoses ; et pour l’arrêt des saignements.
« De Materia Medica » est un ouvrage écrit vers 60 après J-C, source principale de connaissance en matière de plantes médicinales durant l’Antiquité jusqu’au 15e siècle, qui décrit plus de 600 plantes et presque 1 000 remèdes.
C’est à lui que l’on doit la première description détaillée de la plante telle qu’on la connaît aujourd’hui.
Pline l’Ancien confirma dans son « Histoire Naturelle » les découvertes de Dioscoride. Cependant, il alla plus loin en affirmant que l’aloe vera pouvait guérir de nombreuses autres affections, y compris les plaies lépreuses et la dysenterie.
Il a également écrit que la plante pouvait réduire la transpiration.
L’aloe vera était, dans les préparations, vraisemblablement mixé avec du miel et de l’essence de rose pour en camoufler l’amertume.
A la fin du 2e siècle après J-C., l’aloe vera a pris une place importante dans la médecine romaine et était utilisé par les médecins tels qu’Antyllus, Aretaces, et Galien (médecin de l’Empereur Romain Marc Aurèle).
Ce dernier était réputé pour s’être inspiré d’Hippocrate et d’Aristote, qui ont eux-mêmes été influencés par les écrits des Égyptiens et Indiens.



Tous y décrivent les propriétés de la plante telles que l’effet laxatif, coagulant, la guérison des contusions, blessures et gerçures, le traitement des furoncles et affections oculaires, le soin des ulcères génitaux, l’arrêt de la chute des cheveux, embellissement de la peau, etc.
A l’image d’un dieu pour de nombreux peuples de l’Antiquité, l’aloe vera symbolisait l’immortalité, la beauté, la santé et la régénérescence.
L’aloe vera dans la civilisation européenne
L’aloe vera est introduit en Europe vers 1 000-1 300 après J-C.
Pendant les croisades, « l’Élixir de Jérusalem » composé d’un mélange de vin de palme, de pulpe d’aloès et de chanvre, était une boisson très prisée des Templiers, qui lui attribuaient leur secret de longévité.
Au Moyen-Âge et pendant la Renaissance, les usages de l’aloès médicinal se répandent dans le monde et dans les régions les plus froides de l’Europe.
Du fait que la plante pousse sous des climats chauds, les Européens du nord ne s’intéressèrent pas à la plante, alors qu’en Espagne, au Portugal et en Italie où elle était abondante, la population lui accordait beaucoup de considération.


Vers 1 400-1 500 ans après J-C, les conquérants espagnols et les missionnaires divulguent la culture et l’utilisation de l’aloe vera dans le Nouveau monde…
Grâce à la plante, les marins espagnols de la Santa Maria décimés par la malnutrition et la maladie sont sauvés. Christophe Colomb en parle alors dans ses journaux de bord et l’appelle le « Docteur en pot »
Il dit :
Quatre végétaux sont indispensables à la vie de l’Homme : le blé, la vigne, l’olivier et l’aloès. Le premier te nourrit, le second te réjouit, le troisième t’harmonise et le quatrième te guérit.
La teinture d’aloe vera, amère, était également utilisée pour badigeonner les doigts des enfants afin d’éviter qu’ils les portent à la bouche.
L’aloe vera dans la civilisation amérindienne
L’aloès était avec l’agave l’une des 16 plantes sacrées des Amérindiens.
Les Indiens cuisaient les feuilles d’aloès sous la cendre pour les manger. Ils utilisaient la pulpe afin d’arrêter les hémorragies et cicatriser les blessures.
Le gel fermenté était réputé « calmer » le ventre, nettoyer les reins et la vessie, dissoudre les calculs, arrêter la toux, soulager les fluxions de poitrine (nom ancien de la pleurésie et de la pneumonie) et provoquer les menstruations.
Les jeunes Indiennes enduisaient leur visage de jus d’aloès pour attirer les garçons et chasser les parasites.


Dans la culture Maya, le gel de la plante est utilisé en cataplasme pour soigner les migraines.
Les femmes Mayas quant à elles, en enduisent leurs seins afin de sevrer leur bébé. Ces derniers renoncent ainsi à téter, rebutés par l’amertume de la plante.
Avant de partir à la chasse ou à la guerre, les guerriers frottaient leur corps de la pulpe.
Pour les Mazahuas, l’aloe vera était la plante magique par excellence. Elle guérissait de toutes les maladies de celui qui en consommait, lui procurait la force en « faisant venir Dieu en lui », donnait l’esprit clair au fou, à l’ivrogne, à celui qui déraillait.
Une curieuse tradition indienne affirmait que si le pulque (vin de l’agave) rend fou, le vin d’aloès guérit de la folie.

Les Jivaros l’avaient surnommé le « Médecin du ciel » car ils croyaient que la plante sacrée les rendait invulnérables.
En fait, ce sont les prêtres jésuites espagnols et portugais qui influencèrent le développement de la culture et l’utilisation de l’aloe vera dans les colonies d’Amérique vers la fin du XVIe siècle.
Ils importèrent des plants dans les îles Barbade des Caraïbes.
De la légende à aujourd’hui…
Entre le XVe et le XVIIe siècle après J-C, la plante tombe en désuétude.
Elle est seulement utilisée en Europe et en Amérique du Nord sous forme de poudre avec pour seule indication le traitement de la constipation car le gel s’oxyde très vite une fois extrait.
Au XVIIe siècle, la plante se propage à travers le monde grâce aux colons hollandais qui la cultivent sur le continent africain et l’exportent.
Du fait de la réputation ancienne de la plante, les scientifiques commencent à s’intéresser à la composition chimique de l’aloe vera et ses propriétés thérapeutiques et c’est ainsi qu’en 1851, Smith et Stenhouse identifient un des principes actifs de l’aloe vera qu’ils appellent aloïne.
Les extraits d’aloïne et d’aloe-émodine sont cités pour une des premières fois dans le Codex britannique de 1907.
En 1912, Johnston découvre l’effet de la pulpe sur les brûlures, et il faudra attendre les années 1930 pour que la plante se voit attribuée une autre indication thérapeutique : le traitement des radiodermites.
En effet, à cette période, Collins publie les premiers travaux scientifiques sur la plante et démontre ainsi l’effet curatif sur les brûlures dues aux rayons X.

Cela va être confirmé des années plus tard par l’utilisation qu’en ont fait les Japonais après les attaques nucléaires de Nagasaki et Hiroshima : la peau des victimes cicatrisait très rapidement et le nombre de cancers de la peau chez ces Japonais était inférieur au pronostic fait en cas d’une attaque nucléaire d’une telle envergure.
L’engouement de la communauté scientifique mais aussi industrielle commence alors réellement à ce moment.
En 1942, Rodney Stockton, ingénieur chimiste, s’enduit de pulpe gélatineuse d’aloe vera après un coup de soleil et guérit rapidement. Il se met donc à s’intéresser à la plante, travaille sur la stabilisation du gel et met au point un onguent qui soulage les brûlures.
Ce n’est que dans les années 1960, et après des années de recherche, que Bill Coats, pharmacien texan, réussit réellement à stabiliser la pulpe fraîche par un procédé naturel.
Commence alors la commercialisation de l’aloe vera à échelle internationale, et les nombreux travaux cliniques et analytiques. De nombreuses autres propriétés sont ainsi confirmées et la composition chimique de la plante est peu à peu élaborée.
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Aujourd’hui, nous pouvons affirmer que la composition de l’aloe vera est presque en totalité connue.
Mais il reste encore de nombreuses études pouvant confirmer tel ou tel propriété bénéfique pour le corps et la peau… L’aloe vera a encore tant de mystères à nous dévoiler !
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Très très très intéressant. Super article. Merci
Bonjour,
Je viens de découvrir le gel aloe vera que je consomme 3 fois par jour soit 90 ml après avoir terminé un traitement contre l’helicobacter pylori voici une dizaine de jours (antibio+IPP). Quels sont les effets de l’aloe vera sur cette bactérie ? Quelle dose dois-je consommer et faut il prendre des probiotiques ? Merci pour vos conseils
Très grand merci Linda, ton article m’a vraiment éclairci sur beaucoup de troubles que cette plante peut soigner, je serai contant d’en recevoir encore d’autres. Mes salutations.
Merci Jules pour votre retour, je suis ravie que cet article vous ait éclairé sur différents points 🙂